Nicolas Lavarenne
Artisti Promossi
Nicolas Lavarenne
Il est né en 1953 à ChamaIières, Puy de Dôme et a grandi dans une famille où les arts plastiques jouaient un rôle des plus importants. Ses parents étaient tous les deux professeur de dessin et son père était un peintre de qualité internationalement apprécié maintes fois visité par des collègues.
Initialement, il faisait preuve d’un large intérêt efficace pour la technique et des structures; il a échoué ensuite dans une menuiserie pour y faire ses premiers pas dans la sculpture ornementale des cadres de tableaux, puis des meubles pour sculpter quelque cinq ans plus tard des figures en bois plutôt traditionnelles et quelque peu tourmentées. Finalement, après une brève expérience avec du polystyrène, il a trouvé en 1990 sa véritable vocation dans le modelage et la fonte en bronze de figures humaines, principalement masculines. Sa dernière sculpture en bois intitulée ‘L’enragé’ représente un personnage emprisonné dans une structure en tétraèdre. Cette œuvre forme la base de ses figures ultérieures où des échasses, de longues tiges et des éléments tripodes jouent un rôle important et constituent en fait l’essence formelle et originale de ses sculptures
1990 est une année importante pour l’artiste. Il entre en contact, de manière plutôt fortuite, avec un fondeur de bronze qui lui enseigne le charme et la sensibilité du bronze. Il visite Carrara et Santa Pietra et travaille avec quelques artistes connus chez Arman dont il est l’assistant pendant quelque temps. En 1991 apparaît ‘Le Guetteur’, un personnage juché sur son tripode et qui scrute l’avenir. Quelques amis artistes le comblent de bons conseils et des ficelles du métier. La vente de petits ‘échassiers’ lui permet d’acheter et de fondre du bronze. L’année après, il modèle un grand ‘Guetteur’ haut de 4,50 mètres qui a l’air gigantesque dans son atelier, mais une fois monté dans les jardins jouxtant le casino de Beaulieu dans le cadre du Festival des Arts de Beaulieu–sur-Mer, la sculpture paraît moins grande et il court à son atelier fabriquer des rallonges qui la haussent à six mètres. Rallonger la donnée de base devient une constante qui se manifeste de plusieurs manières dans son oeuvre.
En 1993 un couple d’Anglais achète le grand Guetteur et peu après encore trois grandes sculptures. L’Angleterre lui est manifestement bien favorable. Maintenant il est artiste à temps complet, ce qui ne signifie pas qu’il a la vie facile. En 1994, le couple commande une autre œuvre monumentale en bronze qu’il avait modelée en plâtre. Sa première grande exposition personnelle à l’étranger a lieu à Genève. La ville de Menton organise en 1995 au Palais de l’Europe une rétrospective sur dix années de ses recherches et acquiert un grand Guetteur. Des expositions importantes se succèdent à Saint-Paul-de-Vence, au Danemark, à Paris, à Antibes, à Beyrouth, en Grande-Bretagne et au château de La Napoule. En 2006 a lieu sa première exposition à Bruxelles, dans la Rollebeek Gallery, près du Grand Sablon. Huit grandes pièces sur l’eau à Ornans sont installées devant le musée Courbet à la demande des organisateurs d’Ornans Art. En 2012, la ville d’Aix-en-Provence commande une exposition urbaine de 22 de ses pièces monumentales. En 2020 arrive le grand silence du confinement. L’artiste vit retiré dans son atelier et murmure : ‘J’ai savouré ce moment.’.
Il est né en 1953 à ChamaIières, Puy de Dôme et a grandi dans une famille où les arts plastiques jouaient un rôle des plus importants. Ses parents étaient tous les deux professeur de dessin et son père était un peintre de qualité internationalement apprécié maintes fois visité par des collègues.
Initialement, il faisait preuve d’un large intérêt efficace pour la technique et des structures; il a échoué ensuite dans une menuiserie pour y faire ses premiers pas dans la sculpture ornementale des cadres de tableaux, puis des meubles pour sculpter quelque cinq ans plus tard des figures en bois plutôt traditionnelles et quelque peu tourmentées. Finalement, après une brève expérience avec du polystyrène, il a trouvé en 1990 sa véritable vocation dans le modelage et la fonte en bronze de figures humaines, principalement masculines. Sa dernière sculpture en bois intitulée ‘L’enragé’ représente un personnage emprisonné dans une structure en tétraèdre. Cette œuvre forme la base de ses figures ultérieures où des échasses, de longues tiges et des éléments tripodes jouent un rôle important et constituent en fait l’essence formelle et originale de ses sculptures
1990 est une année importante pour l’artiste. Il entre en contact, de manière plutôt fortuite, avec un fondeur de bronze qui lui enseigne le charme et la sensibilité du bronze. Il visite Carrara et Santa Pietra et travaille avec quelques artistes connus chez Arman dont il est l’assistant pendant quelque temps. En 1991 apparaît ‘Le Guetteur’, un personnage juché sur son tripode et qui scrute l’avenir. Quelques amis artistes le comblent de bons conseils et des ficelles du métier. La vente de petits ‘échassiers’ lui permet d’acheter et de fondre du bronze. L’année après, il modèle un grand ‘Guetteur’ haut de 4,50 mètres qui a l’air gigantesque dans son atelier, mais une fois monté dans les jardins jouxtant le casino de Beaulieu dans le cadre du Festival des Arts de Beaulieu–sur-Mer, la sculpture paraît moins grande et il court à son atelier fabriquer des rallonges qui la haussent à six mètres. Rallonger la donnée de base devient une constante qui se manifeste de plusieurs manières dans son oeuvre.
En 1993 un couple d’Anglais achète le grand Guetteur et peu après encore trois grandes sculptures. L’Angleterre lui est manifestement bien favorable. Maintenant il est artiste à temps complet, ce qui ne signifie pas qu’il a la vie facile. En 1994, le couple commande une autre œuvre monumentale en bronze qu’il avait modelée en plâtre. Sa première grande exposition personnelle à l’étranger a lieu à Genève. La ville de Menton organise en 1995 au Palais de l’Europe une rétrospective sur dix années de ses recherches et acquiert un grand Guetteur. Des expositions importantes se succèdent à Saint-Paul-de-Vence, au Danemark, à Paris, à Antibes, à Beyrouth, en Grande-Bretagne et au château de La Napoule. En 2006 a lieu sa première exposition à Bruxelles, dans la Rollebeek Gallery, près du Grand Sablon. Huit grandes pièces sur l’eau à Ornans sont installées devant le musée Courbet à la demande des organisateurs d’Ornans Art. En 2012, la ville d’Aix-en-Provence commande une exposition urbaine de 22 de ses pièces monumentales. En 2020 arrive le grand silence du confinement. L’artiste vit retiré dans son atelier et murmure : ‘J’ai savouré ce moment.’.